Les 23 meilleurs films sur Amazon Prime en ce moment (octobre 2024)
No Time to Die, Killer Heat et American Fiction ne sont que quelques-uns des films que vous devriez regarder sur Amazon Prime Video cette semaine.
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ATHLÉTISME – Il n’y a pas d’âge pour commencer le sport. Vous en avez peut-être marre d’entendre cette phrase pour vous motiver, mais aujourd’hui nous avons une nouvelle preuve pour l’illustrer. Julia Hawkins est une enseignante américaine à la retraite âgée de 105 ans. Depuis maintenant cinq ans, elle s’est mise à la course à pied, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessus. À 101 ans, elle bat un premier record. La retraitée court un 100m en 39 secondes et 62 centièmes, une première pour cette catégorie d’âge. Deux ans plus tard, elle tente une nouvelle fois de se surpasser. Elle termine son parcours de 100m en 46 secondes et 7 centièmes lors des Jeux nationaux seniors organisés au Nouveau-Mexique. Puis, en 2021, elle décide de réitérer une nouvelle fois l’expérience. Cette fois-ci, Julia Hawkins change de catégorie pour passer dans celle des 105 ans et plus. L’enseignante à la retraite avait donné rendez-vous à sa famille et à ses familles ce 7 novembre aux Louisiana Senior Games pour la regarder se dépasser une nouvelle fois. Les 100m ont été parcourus en 1′02″95, soit un tout petit peu moins vite qu’elle l’aurait souhaité; elle visait en effet un 100m en moins d’une minute. Julia Hawkins s’est aujourd’hui fait une véritable place dans le cercle sportif des plus âgés. À 80 ans, elle a commencé à participer aux National Sport Games en se spécialisant dans le cyclisme, plus précisément le contre-la-montre et a remporté plusieurs médailles. Finalement, c’est en course à pied qu’elle se fait le plus remarquer. Julia “Hurricane” Hawkins est plus que contente de ce nouvel exploit. “J’aime courir, et j’aime être une source d’inspiration pour les autres. Je veux continuer à courir aussi longtemps que je le peux. Mon message aux autres est que vous devez…
Regis Duvignau via ReutersLors du marathon de Paris, le 14 avril 2019. PARIS – Trente mois après sa dernière édition en avril 2019, le marathon de Paris fait son retour ce dimanche 17 octobre pour le plus grand bonheur des amateurs, qui courront au côté d’un plateau de professionnels privé de stars. Comme toutes les grandes courses sur route dans le monde, le marathon de Paris a subi directement les conséquences de la crise sanitaire avec deux reports et une annulation en 2020, puis une date fixée à l’automne plutôt qu’au printemps en 2021. Deux ans et demi après le rocambolesque record de France de Clémence Calvin, jamais ratifié à cause de sa condamnation par les instances antidopage, les 42,195 km de la capitale s’offrent de nouveau aux coureurs, avec pour seules nouvelles contraintes la présentation du pass sanitaire et le port du masque dans la zone de départ. L’organisation attend entre 30.000 et 35.000 amateurs au départ, des chiffres en baisse par rapport aux éditions précédentes (environ 49.000 partants en 2019). Les athlètes élite s’élanceront à 8h54 (femmes) et à 9h10 (hommes), sans aucun des grands noms actuels de la course sur route pour faire figure de favori, et sans les tenants du titre éthiopiens Abrha Milaw et Gelete Burka. ?Dernier rappel du parcours! ? Comment sont les jambes à quelques heures du grand départ du Schneider Electric Marathon de Paris ? ?♀️ ?Last reminder: your route tomorrow!? How are your legs feeling a few hours before you take the start of your Marathon? ?#ParisMarathonpic.twitter.com/tDNoghYXkN — Schneider Electric Marathon de Paris (@parismarathon) October 16, 2021 Rappel horaires des SAS ?À quelle heure vas-tu te lancer pour ton Schneider Electric Marathon de Paris ? ⏰? Reminder: the start area ?At what time will you start your Schneider Electric Marathon de…
MARATHON – Je m’appelle Claire, j’ai 36 ans et deux enfants de 2 et 4 ans. Jusque là, je suis une femme comme tant d’autres. Mais la vie m’a réservé une dure épreuve. En effet, cela fait maintenant un peu plus d’un an et demi que je suis veuve. Oui, quand on est jeune on pense que l’on a toute la vie devant soi. On ne pense pas qu’un jour cela peut s’arrêter. C’est ce qui est pourtant arrivé à mon mari, parti à l’âge de 36 ans, atteint d’une tumeur cérébrale. Oui, je suis veuve et j’ai dû apprendre à faire avec. Cela n’a pas été facile. Les enfants m’ont aidé à tenir et à aller de l’avant. Mon mari était un battant, je ne pouvais pas le décevoir, il fallait que je continue à vivre. Je suis d’une nature optimiste donc j’essaie toujours de prendre les choses du bon côté. Surmonter l’épreuve du deuil Lors de ces quatre ans de lutte, nous avions appris à vivre avec la maladie. Cela n’a pas été toujours facile, loin de là. Ni pendant la maladie ni après le décès. Après une première opération en 2014, il a fallu que mon mari réapprenne beaucoup de choses tant physiquement que cognitivement. Heureusement, c’était un grand sportif et le sport l’a aidé à se reconstruire, à reprendre confiance en lui, à avoir un objectif dans la semaine quand il ne travaillait pas. Foot, tennis, padel (sorte de tennis/ pelote basque) tout était prétexte pour rester actif et voir du monde. Vous avez envie de raconter votre histoire? Un événement de votre vie vous a fait voir les choses différemment? Vous voulez briser un tabou? Vous pouvez envoyer votre témoignage à temoignage@huffingtonpost.fr et consulter tous les témoignages que nous avons publiés. La sensation de ne…
MARATHON – Mathilde a 47ans. Elle vient me voir pour son certificat d’aptitude à la course à pied. Elle prépare assidûment le semi-marathon de Paris. Je l’examine. Je lui prends sa fréquence cardiaque et mesure sa pression artérielle. Elle bat à 84 par minute et sa tension est à 14/9. Le Doc: Dites-moi Matilde, vos chiffres sont un peu élevés. Ces résultats sont évocateurs de surentraînement. Vous ne seriez pas un peu fatiguée? … Vous faites beaucoup de fractionné? Mathilde: Non pas tellement, je ne suis pas en club. Je ne fais pas de piste. Je cours plutôt en continu le matin… mais, je suis souvent essoufflée. Le Doc: Allez, je parie que vous faites vos sorties avec votre conjoint? Et vous essayez de suivre? Mathilde.: Eh oui! C’est ça! Il me demande souvent de m’accrocher! L’autre fois, on s’est inscrit aux 10 kilomètres de Vincennes. Il m’a dit: “je vais le faire avec toi, ce sera plus sympa!”. En fait, je n’aime pas quand il m’accompagne sur les compétitions. Il veut me coacher, mais il est beaucoup plus fort que moi. Il a l’impression de se traîner et me demande toujours d’accélérer! Quand je suis essoufflée, il a l’impression que je ne sais pas respirer; alors il me dit: “Allez, souffle bien!”! Vraiment, ça m’agace! Lors de cette course, mon voisin de peloton en a souri et m’a demandé: “Vous courez par amour de la course à pied ou par amour?”. J’ai récupéré quelques molécules d’air et je lui ai répondu: “Les deux, mais je ne sais pas si ça va durer!” Le climat hormonal Publicité Le Doc: Si j’ai émis cette hypothèse, c’est que cette situation est très fréquente. Et, il s’agit d’une cause fréquente de surentraînement! La parité vous donne le droit à un salaire identique, mais…
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