un mémoire troublant d’un romancier sur les troubles de l’alimentation
Dans “Mon Bon Loup Brillant”, Sarah Moss raconte une romance dangereuse avec l’auto-préservation.
Dans “Mon Bon Loup Brillant”, Sarah Moss raconte une romance dangereuse avec l’auto-préservation.
Exclusif : Cinq entreprises pétrolières et chimiques qui avaient promis de détourner le plastique de l’environnement ont produit 132 millions de tonnes de celui-ci, selon une analyseLe programme de recyclage à Bali submergé par les déchetsLes entreprises pétrolières et chimiques qui ont créé une alliance très médiatisée pour mettre fin à la pollution plastique ont produit 1 000 fois plus de nouveau plastique en cinq ans que les déchets qu’elles ont détournés de l’environnement, selon de nouvelles données obtenues par Greenpeace.L’Alliance to End Plastic Waste (AEPW) a été créée en 2019 par un groupe d’entreprises comprenant ExxonMobil, Dow, Shell, TotalEnergies et ChevronPhillips, certains des plus grands producteurs de plastique au monde. Elles avaient promis de détourner 15 millions de tonnes de déchets plastiques de l’environnement en cinq ans, jusqu’à fin 2023, en améliorant la collecte et le recyclage, et en créant une économie circulaire. Continue reading…
Un nouveau livre ambitieux révèle des courants cachés liant des écrivains aussi disparates que Colette, Thomas Mann, D. H. Lawrence, Virginia Woolf, Ralph Ellison et Chinua Achebe.
Pour concilier contraintes budgétaires et véritable justice fiscale, le gouvernement pourrait davantage mettre à contribution les plus riches. D’autant que pour y parvenir, les outils ne manquent pas.
Alors que l’armée israélienne continue de pilonner le sud de Beyrouth, la montagne druze du Chouf accueille la majorité des déplacés du pays. Ses habitants se montrent solidaires mais craignent que la possible présence de membres du Hezbollah fasse de la région une cible.
INSOLITE – C’était l’une de ses dernières volontés. René Armentier avait tout orchestré aux côtés de sa fille avant de partir. Il avait une idée très précise: se faire inhumer dans un cercueil capitonné des pages de son journal: La Montagne. Ancien cadre EDF, cet habitant du Puy-de-Dôme a été inhumé ce vendredi 31 juillet, dans le caveau familial à Saint-Remy-sur-Durolle. “Pour lui, les obsèques étaient une opération mercantile et il voulait consacrer son argent à ce qui l’intéressait. Il aurait voulu un cercueil en sapin basique qui n’existe pas et ne voulait pas de capitonnage. Lorsque je lui ai dit qu’il faudrait peut-être bien mettre quelque chose, il m’a dit : eh bien, il n’y a qu’à mettre mon journal!”, raconte sa fille Martine Glorieux au journal La Montagne. Une volonté réalisable, comme l’a précisé au quotidien le gérant des pompes funèbres: “Le capitonnage d’un cercueil est une option pas une obligation. Mon rôle de professionnel est de répondre aux demandes des familles qui, de plus en plus, souhaitent personnaliser les obsèques jusqu’au cercueil lui-même”, indique David Ducron. Un lecteur incontesté De son vivant, René Armentier ne manquait aucune occasion de lire son journal. “Mon père a toujours été abonné à La Montagne, dimanche et jours fériés compris. Il lisait son journal de A à Z.”, confie sa fille au quotidien. Elle poursuit. “D’abord les avis d’obsèques, pour voir s’il y avait des célébrités comme il disait, c’est-à-dire des gens qu’il connaissait. Il poursuivait par le sport, le foot surtout car je crois qu’il y avait joué étant jeune. Et puis la politique nationale et surtout régionale : aux dernières municipales, il m’avait demandé de lui donner le nom de tous les maires des communes qu’il connaissait. Il finissait par le programme télé pour les info, les documentaires et le foot.” …
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