Description d’un gars dans un roman de romance fantastique
Dans sa forme humaine, Algor ressemblait à un mélange de George Clooney, Tom Cruise et un Boeing 747. Dans sa forme magique, Algor ressemblait à un rhinocéros démon avec des ailes.
Dans sa forme humaine, Algor ressemblait à un mélange de George Clooney, Tom Cruise et un Boeing 747. Dans sa forme magique, Algor ressemblait à un rhinocéros démon avec des ailes.
En Inde, l’un des pays les plus polyglottes du monde, le gouvernement souhaite que plus d’un milliard de personnes adoptent l’hindi. Un chercheur pense que ce serait une perte.
L’actrice discute de son rôle dans la nouvelle adaptation cinématographique de « La Leçon de Piano », la pièce de Wilson sur la Grande Migration et une famille déchirée par l’héritage.
Les utilisateurs frustrés par la gestion d’Elon Musk sur X et sa proximité avec le président élu Donald Trump fuient vers Bluesky—une migration plus facile que de quitter les États-Unis.
En 2024, vous pourriez vous demander si Fitbit est toujours pertinent. Malgré son acquisition par Google, Fitbit reste l’un des noms les plus reconnus dans l’industrie. Les trackers Fitbit ne sont pas destinés aux athlètes les plus acharnés, mais ce sont tout de même d’excellents appareils pour suivre l’activité globale ainsi que pour surveiller certaines métriques de santé et de bien-être comme les ECG et les niveaux d’oxygène dans le sang. Cela dit, nous sommes dans une période de transition de l’ancien Fitbit à ce que sera Fitbit à l’avenir. 2023, en particulier, a été une année chaotique. Il y a eu plusieurs pannes de serveurs Fitbit. Je n’ai pas été impressionné par la décision d’arrêter les anciennes fonctionnalités communautaires comme les défis ou par le fait que tous les comptes Fitbit devront se connecter via Google d’ici 2025. À propos de cela, la migration des comptes Fitbit vers Google a commencé l’été dernier et est nécessaire si vous achetez de nouveaux produits comme le Fitbit Charge 6 ou le Google Pixel Watch 3. L’application Fitbit a également reçu un nouveau design, plus similaire à celui de Google, ce qui n’a pas été bien reçu par de nombreux utilisateurs. (Google a depuis apporté des ajustements en fonction des retours.) Et en janvier, une grande partie de la direction de Fitbit, y compris les cofondateurs James Park et Eric Friedman, a quitté l’entreprise alors qu’environ mille employés de Google ont été licenciés. a:hover]:shadow-highlight-franklin dark:[&>a:hover]:shadow-highlight-franklin [&>a]:shadow-underline-black dark:[&>a]:shadow-underline-white”>Ce que je recherche a:hover]:shadow-highlight-franklin dark:[&>a:hover]:shadow-highlight-franklin [&>a]:shadow-underline-black dark:[&>a]:shadow-underline-white”>Ensemble des fonctionnalités La plupart des Fitbits partagent le même ensemble de fonctionnalités basiques comme les pas, les minuteries et les notifications. Cependant, tous les modèles ne sont pas capables de faire des ECG ou de suivre le stress en temps réel. Il en va de même pour le…
Depuis le début de la guerre entre le Hezbollah et Israël, et surtout l’intensification des bombardements israéliens depuis la fin septembre, les Libanais payent un lourd tribut, notamment dans le Sud agricole.
Pour accompagner le lancement de la campagne « Sans papiers, sans droits, sans abri », à l’initiative du Samusocial, en partenariat avec le Ciré, Médecins du monde, l’Îlot et Brussels Platform Armoede, on relaye l’histoire de Gina, 32 ans, originaire de Kinshasa. Gina est l’un des quatre visages de la campagne d’affichage lancée à Bruxelles pour alerter les autorités et les citoyen·nes sur l’absence de solutions ou de procédures simplifiées pour les personnes « sans papiers » – ce qui les maintient dans le sans-abrisme et dans des dispositifs d’urgence, inadaptés à leur situation et coûteux pour l’État. Publicité Alors qu’on a pu entendre dans l’actualité des amalgames entre la question des personnes « sans-papiers », l’insécurité et le terrorisme, les associations appellent à la nuance et à la responsabilité. Dans leur communiqué, ces associations disent leur responsabilité de témoigner des situations parfois insoutenables observées par leurs équipes de terrain, mais proposent également les solutions, des recommandations pragmatiques accessibles via leur site sanspapiers2023.be, et qui ont été dégagées avec le concours d’une vingtaine d’associations des secteurs social, juridique et sanitaire, pour protéger les personnes « sans papiers » les plus vulnérables. Notre situation à Kinshasa était très difficile. J’ai réfléchi longtemps et puis j’ai décidé de partir. Je suis passée par la Turquie, où je suis restée un an, puis par la Grèce, au camp de réfugié·es de Moria où, sur les 70 euros qu’on recevait par mois, j’ai économisé pour payer le billet pour Bruxelles. Je suis arrivée à Charleroi avec deux euros. Un employé de l’aéroport qui parlait lingala m’a demandé si j’avais de la famille ici. J’ai dit que non, alors il m’a conduite à la gare du Midi. J’ai dormi dans la gare pendant quatre jours, puis j’ai vu des gens qui parlaient lingala dans un resto,…
À la frontière entre la Pologne et la République biélorusse se trouve le parc national de Belovezhskaya Pushcha, l’une des plus anciennes forêts naturelles d’Europe, très dense et encore largement préservée de l’empreinte humaine. Depuis deux ans, des migrant·es venant d’Afrique, du Moyen-Orient et d’Asie du Sud s’y cachent pour tenter de traverser l’Union européenne en passant par la Pologne. La police frontalière polonaise patrouille sans relâche dans ces zones, brutalisant et expulsant toutes les personnes qu’elle trouve. La crise a débuté en 2021, quand le président biélorusse, Aleksandr Loukachenko, a décidé d’assouplir les lois sur les visas du pays, autorisant l’entrée de personnes munies d’un billet aller simple. Cette décision avait été largement perçue comme une mesure de représailles envers les sanctions imposées par l’UE, des sanctions mises en place juste après que Loukachenko ait supposément truqué sa victoire lors des élections de 2020 en Biélorussie. Si les tensions s’étaient apaisées en 2022, elles ont récemment repris alors que 10 000 soldats ont été envoyés dans la région par la Pologne en réponse à une invasion biélorusse sur son territoire. Pour les milliers de personnes qui se cachent dans la forêt, les conditions de vie sont brutales. En hiver, les températures tombent souvent en dessous de zéro. Les migrant·es se perdent dans la forêt en essayant de la traverser et ont souvent du mal à retrouver leur chemin. Au moins 48 corps y ont été retrouvés depuis 2021. L’aide humanitaire et l’accès des médias à la région ont été interdits par le gouvernement polonais. Cependant, quelques journalistes ont trouvé des subterfuges pour couvrir cette crise, et des bénévoles sont présent·es pour aider les migrant·es en leur fournissant de la nourriture, des vêtements et une assistance médicale. Parmi eux se trouve la photojournaliste Hanna Jarzabek, qui a travaillé sous couverture dans…
Vendredi matin, dans le nord de Bruxelles. Trois files se forment devant l’entrée d’un grand bâtiment gris anthracite. Des hommes seuls, en grande majorité. Quotidiennement, entre 300 et 700 bénéficiaires se pressent au hub humanitaire. Piloté par cinq associations, le consortium vient en aide aux personnes en situation d’exil. À l’intérieur, un accueil de jour et la possibilité d’accéder à des services spécialisés. « J’ai un rendez-vous médical à 15 heures pour ma jambe », indique Ajeel, un ticket à la main. Le trentenaire soulève le bas de son pantalon : avec ses doigts, il dessine sur son mollet, la barre de métal positionnée dans sa chair. « J’ai très mal », avoue cet homme originaire d’Irak. À l’évocation de son pays, son regard s’illumine : « Je suis très fier d’être Irakien », assure-t-il en mimant des muscles avec ses bras. Vingt ans après l’invasion américaine, le pays reste gangrené par des conflits, la corruption et l’instabilité. Ajeel a fait sa demande d’asile en juillet 2022 à Bruxelles. Bientôt neuf mois qu’il dort dehors. Sa procédure enclenchée, il aurait dû bénéficier de conditions d’accueil minimales, mais cela n’a jamais été le cas. Initialement, le hub humanitaire accueillait des personnes migrantes en transit. Aujourd’hui, une grande partie sont des demandeurs d’asile. À leur arrivée, ces derniers doivent se rendre au centre du Petit Château où il leur est notifié qu’il n’y a plus de places. Aux manettes : Fedasil, l’agence fédérale pour l’accueil des demandeur·ses d’asile. « En ce moment, 3 000 individus sont inscrits sur la liste d’attente. Un bon millier sont hébergés dans le dispositif d’accueil d’urgence bruxellois [financé par le fédéral, NDLR], d’autres sont chez des connaissances, se trouvent dans des squats, à la rue ou ont quitté la Belgique », répondait, mi-avril, Benoît Mansy, son porte-parole….
On passe par un espace de coworking et on entre dans une salle de réunion où je retrouve le reste de l’équipe 100PAP. « On a postulé ici pour mettre notre stock, continue Paul. Avant, il était réparti sur plusieurs endroits, c’était pas très pratique. On avait besoin de centraliser les choses. Et puis en étant ici, on a accès à un cowork, à une cuisine et à une salle de réunion. C’est vraiment idéal pour nous. Et puis nos bières sont livrées à vélo par Dioxyde de Gambettes qui sont aussi basés ici, ce qui facilite énormément les choses, pour prendre directement dans notre stock et le livrer rapidement. » Les dernier·es bénévoles arrivent et la réunion commence. Il s’agit aujourd’hui de définir les objectifs de 100PAP pour l’année à venir. Paul commence en faisant le point sur l’évolution possible des limonades. Il aimerait qu’elles passent en cannette et qu’elles deviennent complètement bio, ce qui assurerait un meilleur positionnement par rapport à la concurrence. La discussion est lancée, il y a les gens qui sont pour, d’autres qui pensent que c’est trop tôt, certains qui préfèrent se taire. Tout le monde s’écoute, fait valoir son avis, se recadre pour éviter que la discussion ne parte dans tous les sens. Source
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