Les 29 Meilleurs Films sur Max (alias HBO Max) en Ce Moment (Novembre 2024)
MaXXXine, Furiosa et Beetlejuice ne sont que quelques-uns des films que vous devriez regarder sur Max ce mois-ci.
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JUSTICE – Mila avait reçu des milliers de messages de haine et de menaces après une vidéo polémique sur l’islam: le tribunal de Paris a opté ce mercredi 7 juillet pour des peines de prison avec sursis et une relaxe pour 12 des 13 jeunes gens jugés pour avoir participé au cyberharcèlement de l’adolescente. Onze des treize prévenus ont écopé de peines de prison avec sursis allant de 4 à 6 mois et une personne a été relaxée faute de preuves. Le tribunal a retenu un vice de procédure dans le cas d’un autre prévenu. Plusieurs prévenus devront s’acquitter d’une amende de 1500 euros envers Mila en raison des souffrances qu’elle a endurées et à 1000 euros chacun pour les frais d’avocats. À l’exception du vice de procédure, la condamnation est similaire aux réquisitions du parquet prononcées fin juin. “Nous vous considérons responsables des dommages causés à Mila”, a souligné le président de la 10e chambre correctionnelle, Michaël Humbert, en rendant son jugement. “Le réseau social, c’est la rue. Quand vous croisez quelqu’un dans la rue, on s’interdirait d’insulter quelqu’un, de le menacer, de se moquer. Ce que vous ne faites pas dans la rue, ne le faites pas sur les réseaux sociaux”, a insisté le magistrat. À l’issue de l’audience, Mila a remercié ses soutiens, dont “ses parents, (…) son avocat, les forces de l’ordre qui assurent ma protection, les féministes et les associations anti-racistes qui ont eu le courage de me soutenir.” “Je m’attendais à bien pire” sur ce jugement et “on a gagné”, a-t-elle déclaré au micro de BFMTV. L’audience était aussi l’une des toutes premières consacrées à l’infraction de cyberharcèlement, créée par une loi de 2018. Elle peut être constituée dès lors que plusieurs personnes s’en prenant à une même victime savent que leurs propos ou…
JUSTICE – Cinq personnes doivent être jugées le 3 juin par le tribunal correctionnel de Paris pour “harcèlement moral” et, pour deux d’entre elles, “menaces de mort” à l’encontre de Mila, adolescente iséroise qui avait publié une vidéo polémique sur l’islam, a indiqué ce jeudi 11 février le parquet. Les cinq personnes, âgées de 18 à 29 ans, avaient été interpellées mardi en Loire-Atlantique, Moselle, dans le Calvados, la Marne et les Hauts-de-Seine, par les services de police et de gendarmerie locaux. L’opération était placée sous la coordination opérationnelle de la division de lutte contre les crimes de haine de l’Office central de lutte contre les crimes contre l’humanité, les génocides, les crimes de guerre et les crimes de haine (OCLCH). À l’issue de leur garde à vue, elles ont été présentées à un procureur du tout nouveau pôle national de lutte contre la haine en ligne du parquet de Paris, destiné à centraliser les investigations à mener dans différentes régions de France. Elles ont ensuite été placées sous contrôle judiciaire par un juge des libertés et de la détention, dans l’attente de leur procès, a précisé le parquet. Parmi les mis en cause figurent des ”étudiants”, “pas politisés”, dont certains disent “n’avoir pas conscience de la gravité de leurs propos et de leurs messages”, avait dit à l’AFP une source proche du dossier le jour des interpellations. Peines de prison pour des menaces de mort Mila, jeune femme qui fêtera bientôt ses 18 ans, avait suscité de violentes réactions, accompagnées parfois de menaces de mort, en publiant en novembre sur le réseau social TikTok une nouvelle vidéo dans laquelle elle s’en prenait vertement à ses détracteurs. L’adolescente avait partagé sur Twitter des captures d’écran des menaces de mort reçues, certaines évoquant l’assassinat du professeur Samuel Paty en octobre 2020 dans les…
MILA – Le parquet de Vienne (Isère) a annoncé ce dimanche 15 novembre l’ouverture d’une enquête pour “menaces de mort par écrit et harcèlement électronique” après les réactions suscitées par une nouvelle vidéo polémique sur l’islam de l’adolescente iséroise Mila, déjà inquiétée en janvier pour une publication similaire. “A la suite d’une nouvelle publication de la jeune Mila sur le réseau social TikTok, celle-ci fait l’objet, depuis ce matin, de menaces de mort caractérisées. Mon parquet a immédiatement ouvert une enquête”, a indiqué dans un communiqué la procureure de la République Audrey Quey. Cette enquête, “confiée en co-saisine à la division de lutte contre les crimes de haine de l’office central de lutte contre les crimes contre l’humanité, les génocides, les crimes de guerre et les crimes de haine, ainsi qu’à la section de recherche de la gendarmerie nationale de Grenoble”, est “diligentée des chefs de menaces de mort par écrit et harcèlement électronique”, a-t-elle précisé. Selon la magistrate, les auteurs de ces menaces, une fois identifiés, seront poursuivis en justice et encourent jusqu’à 3 ans d’emprisonnement et 45.000 euros d’amende. “Ce n’est plus de la controverse, c’est de la persécution” Dimanche après-midi, le nom Mila figurait en première place dans les tendances Twitter quelques heures après que la jeune fille s’en fût pris à ses détracteurs dans une vidéo en déclarant: “Et dernière chose, surveillez votre pote Allah, s’il vous plaît. Parce que mes doigts dans son trou du cul, j’les ai toujours pas sortis”. Insultes, messages de haine et menaces de mort ont alors fusé sur Twitter, où l’Iséroise a aussi reçu de nombreux soutiens de personnalités dont celui de la ministre déléguée à la Citoyenneté Marlène Schiappa. “Ce n’est plus de la controverse, c’est de la persécution, contre une mineure qui plus est”, écrit-elle, précisant qu’elle adresserait…
QuotidienL’adolescente Mila sur le plateau de l’émission “Quotidien”. HARCÈLEMENT – Un jeune homme a été condamné jeudi à Auch à trois ans de prison dont 18 mois avec sursis, pour des menaces de mort à l’encontre de Mila, l’adolescente harcelée pour avoir critiqué l’islam sur les réseaux sociaux, a-t-on appris ce jeudi 1er octobre auprès du parquet. L’homme de 23 ans, vivant sous curatelle dans un foyer pour adultes handicapés, avait déjà été condamné par le tribunal judiciaire le 10 septembre à 18 mois de prison dont 10 avec sursis pour avoir menacé des jeunes filles dans un bus. Il doit également prochainement comparaître à Tarbes, sa ville de naissance, dans un dossier de stupéfiants. En janvier, la jeune iséroise Mila avait publié une vidéo devenue virale dans laquelle elle proférait de virulentes critiques sur l’islam, déclenchant un déferlement de menaces ― qui l’ont contrainte à quitter son lycée― mais aussi de soutiens, jusqu’au plus haut niveau de l’Etat. Emmanuel Macron avait affirmé dans un entretien au Dauphiné libéré le “droit au blasphème” et à “critiquer les religions”, défendant Mila à qui “on doit une protection”, avait ajouté le président. Durant l’été, la jeune fille a été menacée de mort et de viol alors qu’elle était à Malte en séjour linguistique, avait indiqué début septembre la procureure de la République de Vienne, Audrey Quey, confirmant une information de l’hebdomadaire Le Canard enchainé. L’auteur des menaces, un Algérien vivant en France, avait été interpellé et condamné à de la prison avec sursis par la justice maltaise. Par ailleurs plusieurs personnes ont été mises en examen dans le cadre de l’enquête sur menaces de mort de janvier et à la diffusion des coordonnées de Mila. À voir également sur Le HuffPost: Jean-Marie Bigard, “abruti total” pour François Cluzet Source
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