Amira Khediri partage la nouvelle sur le groupe WhatsApp, luttant contre larmes et indignation. Elle cherche à exprimer un an de violences à Gaza, ne dénichant qu’un terme, qu’elle répète : « génocide ». « Kareem, écrit-elle, double amputé, vient de décéder aujourd’hui dans la plus horrible des souffrances en attendant l’aval du Cogat », l’organisme du ministère israélien de la défense qui gère les actions civiles dans les territoires palestiniens occupés.
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