La tendance ‘LOLCow’ des médias sociaux est une cruauté organisée
Une relique des débuts d’internet, les utilisateurs de TikTok ravivent l’expression ‘LOLCow’ pour décrire une nouvelle génération de créateurs viraux.
Une relique des débuts d’internet, les utilisateurs de TikTok ravivent l’expression ‘LOLCow’ pour décrire une nouvelle génération de créateurs viraux.
Gilles Perret et François Ruffin prennent Sarah Saldmann en tournée. La juriste et éditocrate bling-bling a accepté l’invitation de Ruffin pour partager une journée de travail avec ceux qu’elle dénigre continuellement dans ses émissions, notamment sur RMC, les qualifiant d’assistés, de glandus et de feignasses. Cela lui permettra de se rendre compte de l’exagération de ses propos. Ce qu’il en ressortira in fine, reste un mystère. Mais peut-être qu’elle pensera désormais à deux fois avant de s’exprimer… (Cela dit, il est peu probable qu’elle change. Saldmann a utilisé la même méthode d’ignorance et de diffamation sur un autre sujet – le génocide à Gaza. Une rééducation ne semble cependant pas être à l’ordre du jour cette fois-ci). Telle est la thématique d’Au boulot !, dans un double sens à la fois promotionnel et narratif. Une thématique difficile à éviter cette semaine, à l’instar de la réélection de Donald Trump. Dans les premiers instants, alors qu’il attend sa cobaye dans un salon du Plazza Athénée, Ruffin le présente à son co-réalisateur, bien qu’il y ait toutes les raisons de croire qu’il en soit déjà au courant. Ce même point sera rappelé par Ruffin à intervalles réguliers. Environ toutes les cinq minutes. Parfois pour éclairer le public qui pourrait être lent à saisir, parfois pour s’assurer que Saldmann comprenne à quel jeu elle est mêlée, qu’elle en perçoive le sens, et idéalement, qu’elle ait déjà digéré la leçon. Une riche effectue une brève immersion dans le monde du peuple. Ce n’est pas seulement un résumé du film. C’est le film en lui-même qui, à peu de choses près, se résume à cela : à cette formule qui agit comme un effet d’annonce, un slogan et un message. Au boulot ! est le quatrième long-métrage de Ruffin, le troisième réalisé en collaboration avec Perret. Les…
Neuf ans plus tard, Trump est à portée d’un autre mandat alors que les technocrates luttent pour le contenir.
Quand on pense à la côte, on a tou·tes en tête cette image quasi idyllique de longues traînées de mer sur le sable, de vieux corps fripés par la surexposition au soleil et des chaises longues rangées en un alignement parfait longeant les cabanons de plage. C’est une façon de voir les choses, mais pas la seule. Mathieu Van Assche (43 ans), autodidacte et passionné par la photo, le graphisme et la gravure, a quitté la ville, le temps d’immortaliser un tout autre horizon. Publicité Lui qui s’inspire d’une philosophie décomplexée de la photographie telles que peuvent la pratiquer Bruce Gilden, Vivian Maier, Daido Moriyama ou encore le collectif et éditeur américain Hamburger Eyes, il a su transférer un regard original à un paysage que l’on pensait connaître par coeur. « Avec 1010 Nordzee, l’idée était de montrer et de parler de la côte Belge sous différents aspects et à différentes périodes de l’année, explique Mathieu. Et comme ça fait plusieurs années que je photographie le Carnaval Sauvage de Bruxelles et que j’ai un certain attrait pour tout ce qui touche aux masques, j’ai aussi eu envie d’aller photographier le carnaval de Blankenberge. » Pour Mathieu, la pratique de la photo le sort d’un rapport au temps différent qu’il a lorsqu’il fait de la gravure. « La gravure c’est un procédé très lent, qui demande beaucoup de patience et parfois de précision, détaille le photographe. Parfois je travaille plus d’un mois sur la même image. En photo, la spontanéité et l’instinct font complètement partie de mon processus. » Publicité Il y a comme quelque chose d’envoûtant et à la fois très dérangeant dans cette vision de la côte. Entre la photo sortie d’une session d’exorcisme et la cover d’un album de doom ostendais, le noir et blanc permet réellement de…
Née d’une mère sarde, Marina Spironetti est une photojournaliste basée à Milan. Depuis quatre ans, elle documente les anciennes coutumes pratiquement inchangées de la Barbagia, une vaste région montagneuse du centre de la Sardaigne. Son livre photo Senza Mare, paru aux éditions Crowdbooks, retrace l’histoire de « l’autre Sardaigne, celle qui contraste avec les images touristiques habituellement associées à l’île », explique Marina Spironetti. Pour Spironetti, cette région est à la fois le « cœur battant de l’île » et « la zone moins connue et la plus préservée ». Le titre du projet fait allusion à l’idée que la mer est une menace. « C’est quelque chose de profondément ancré dans la culture sarde : à partir d’un certain moment de leur histoire, les Sardes ont renoncé à devenir un peuple de navigateurs, dit-elle. Il faut dire qu’aucun gouvernement – ni celui de Pise, ni celui de l’Aragon, ni celui de la Savoie – n’a pu exercer une véritable autorité sur ces terres. » La première moitié du livre est consacrée aux masques du carnaval de la Barbagia, qui sont tous liés aux « anciens rites agraires, à la mort et à la renaissance de la nature ». La seconde moitié est consacrée aux costumes féminins traditionnels de la Sardaigne. « Je crois que la Sardaigne, comme toutes les îles, est géographiquement et historiquement un monde à part. Au fil des siècles, le manque de contact avec l’extérieur a certainement renforcé son identité et son attachement à ses racines », conclut Spironetti. Plus de photos ci-dessous : Source
Sipa USA via APLe carnaval de Rio 2021 reporté à cause du Covid (Photo d’illustration prise en février lors de l’édition 2020 du prestigieux carnaval brésilien) CORONAVIRUS – L’édition 2021 du fameux carnaval de Rio de Janeiro, qui devait se tenir en février prochain, a été reportée sine die en raison de l’épidémie de Covid-19, encore très active au Brésil, a annoncé jeudi 24 septembre un responsable. “Nous sommes arrivés à la conclusion que l’événement devait être reporté. Nous ne pouvons tout simplement pas le faire en février. Les écoles de samba n’auront ni le temps ni les ressources financières et organisationnelles pour être prêtes pour février”, a dit à des journalistes Jorge Castanheira, le président de la Ligue indépendante des écoles de samba de Rio de Janeiro (LIESA), qui organise l’événement. Après les États-Unis, le Brésil est le deuxième pays le plus endeuillé par le coronavirus, avec 139.808 morts. Plus de 4 millions de cas ont été enregistrés. Toutefois, malgré ses chiffres, le plus grand pays d’Amérique latine semblait enfin voir le bout du tunnel début septembre. Après plusieurs mois de plateau interminable avec plus de 1000 nouveaux décès enregistrés presque tous les jours, le nombre de victimes du coronavirus a légèrement commencé à baisser. Le ministère de la Santé a estimé que ces chiffres indiquent déjà une courbe ”à la baisse”, mais les spécialistes restent prudents. “C’est le début de ce qu’on espère être effectivement une tendance à la baisse, mais c’est encore très récent et très timide”, avait déclaré à l’AFP Mauro Sanchez, épidémiologiste de l’université de Brasilia. À voir également sur Le HuffPost: Au Brésil, des DJ s’invitent dans les stades pour combattre le huis clos Source
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