L'orbe de balayage oculaire de Sam Altman a un nouveau look et sera livré directement à votre porte
Le projet ambitieux de vérification d'identité Worldcoin, désormais appelé World, veut un avenir où les humains sont « vérifiés par orbe ».
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Les pays désertiques comme les Émirats arabes unis cherchent des moyens de faire pleuvoir. Les nouvelles technologies pourraient rendre cela possible, mais à quel prix ?
Nous avons atteint un point de basculement où nous disposons d'une alternative plus propre pour la plupart des transports. Nous devons maintenant nous engager.
Le déploiement mondial de l'énergie solaire et éolienne, ainsi qu'une augmentation des ventes de véhicules électriques, signifient que les émissions provenant de l'énergie dérivée des combustibles fossiles vont enfin atteindre une pente descendante.
« On n’a rien à faire ici, alors on traîne avec nos potes et on fume des cigarettes. Ouais, les clopes c’est un peu notre oxygène », me lance Sohail*, 21 ans. Comme tous les jours après le repas du midi, il rejoint ses amis près d’un terrain vague de Srinagar, la plus grande ville du Jammu-et-Cachemire, au nord de l’Inde. Ça rigole, ça parle de sport, et ça fume beaucoup. Mais une inquiétude casse ce moment d’insouciance. « Actuellement c’est un enfer, aucun·e jeune n’a de travail, dit-il. Un gars avec un doctorat va se retrouver à vendre des légumes sur le marché. On dépend tous de notre famille, alors qu’on voudrait gagner de l’argent par nous-même. » Un de ses potes enchaîne: « Pas de job, pas de petite amie, pas de vie. » Source
Selon Sarangi, l’autre aspect préoccupant de la catastrophe en cours est qu’il n’existe aucune organisation indienne capable de procéder à une évaluation scientifique complète du problème et de proposer un plan réalisable et efficace pour nettoyer la contamination. En 2010, deux centres de recherche, le NEERI et le NGRI ont étudié le problème des déchets dangereux et proposé une méthode d’assainissement de l’environnement. « Sauf qu’un comité d’évaluation nommé par le gouvernement a estimé que les conclusions de l’étude n’étaient pas fiables, poursuit Sarangi. Les fonctionnaires du PNUE (Programme des Nations unies pour l’environnement, NDLR) qui disposent de l’expertise et de l’expérience nécessaires pour mener à bien des travaux d’assainissement, comme à Bhopal, ont proposé leur aide, mais le gouvernement indien, pour des raisons qui restent à connaître, refuse de leur envoyer une demande à cet égard. » Source
Quelles pratiques t’ont le plus marqué ?Celles qui sont extrêmement intenses. Par exemple, le Karthigai deepam dans la ville de Tiruvannamalai, dans le sud de l’Inde, où un énorme chaudron contenant plusieurs tonnes de ghee est allumé à la nuit tombée, au sommet de la montagne sacrée. À ce moment-là, les dévots, par centaines de milliers, entrent collectivement en transe. Il y a aussi le festival Dassara à Kulasekharapattinam, également dans le sud de l’Inde. Des milliers d’hommes et de femmes se déguisent pour rejouer l’exploit de la déesse Durga tuant le démon à tête de buffle. Tout y est représenté : déesse, buffles et autres animaux – parfois étranges -, dieux, ascètes, cavaliers, jeunes filles tribales et démons de toutes sortes… Enfin, à Piornal en Espagne, il y a le rite de Jarramplas, où des navets sont jetés sur le bouc émissaire, nommé Jarramplas, pour exorciser le mal. Bien sûr, il y en a beaucoup d’autres. Source
Kovid KapoorKovid Kapoor. COVID-19 – Il s’appelle Kovid Kapoor, et il faut dire qu’avec la pandémie de Covid-19, cet Indien jouit d’une petite célébrité dans son pays et sur les réseaux sociaux, dont il n’hésite pas à en jouer. Lorsque la pandémie a frappé il y a deux ans, ce patron d’une start-up de voyage de 31 ans s’était ainsi adressé à Twitter en publiant cet “avertissement” en février 2020: “Je m’appelle Kovid et je ne suis pas un virus”. My name is Kovid and I’m not a virus ?#COVID2019#coronavirusus — Kovid Kapoor (@kovidkapoor) February 12, 2020 Kovid Kapoor a expliqué sur le réseau social qu’il avait cette semaine voyagé à l’étranger pour la première fois depuis le début de la pandémie, et que son prénom avait “amusé beaucoup de gens”. “Mes futurs voyages à l’étranger vont être amusants!”, a-t-il lancé sur Twitter, avec un message qui a reçu 40.000 “likes” et a été retweeté 4000 fois, ajoutant que, si son prénom l’aidait à briser la glace dans les rencontres, en revanche lorsqu’il allait commander un café, il demandait qu’on n’annonce pas son prénom à la cantonade. Went outside India for the first time since COVID and got a bunch of people amused by my name. ? Future foreign trips are going to be fun! — Kovid Kapoor (@kovidkapoor) January 4, 2022 At Starbucks, the guy handing me the coffee pointed out the name to everyone else and they burst out laughing – I mostly use a fake name now. ☕️ pic.twitter.com/79STYv2uG6 — Kovid Kapoor (@kovidkapoor) January 5, 2022 “Chez Starbucks, le gars qui m’a tendu le café a indiqué le nom à tout le monde et ils ont éclaté de rire – j’utilise principalement un faux nom maintenant.” Avalanche de “memes” et demandes d’interview Son commentaire a suscité une avalanche…
MANJUNATH KIRAN via AFPLes cas de Covid-19 se multiplient en Inde et un nouveau variant, B.1.617, émerge. Image d’illustration prise le 15 avril à Bangalore. CORONAVIRUS – L’Inde a annoncé ce lundi 24 mai avoir franchi la barre des 300.000 décès dus au coronavirus, devenant le troisième pays au monde à atteindre ce chiffre, derrière les Etats-Unis et le Brésil, alors que la pandémie continue de faire rage dans ce vaste pays de 1,3 milliard d’habitants. Selon le ministère de la Santé, le nombre total de décès s’élève à 303.720, dont 50.000 en un peu moins de deux semaines, et le nombre cumulé de contaminations a dépassé les 26,7 millions. Depuis quelques semaines, l’Inde enregistre régulièrement un nombre quotidien record de contaminations et de décès. Au cours des dernières 24 heures, l’Inde a recensé 4.454 décès dus au virus Covid-19, soit le deuxième bilan quotidien le plus élevé depuis le record de 4.529 morts atteint mercredi. Cette hausse continue du nombre de morts intervient alors que dans la plupart des grandes villes, notamment dans la capitale New Delhi et la capitale financière Bombay, des mesures de confinement ont été mises en place pour juguler les contaminations. “Les décès seront toujours décalés par rapport au nombre de cas…. Les gens qui aujourd’hui ont été testés positifs vont aller à l’hôpital, et puis un petit nombre d’entre-eux vont mourir, mais ce sera plus tard”, a expliqué lundi à l’AFP Gautam Menon, professeur de biologie à l’Université Ashoka. Nombre d’experts estiment que les chiffres réels sont sans doute largement sous-évalués, d’autant que l’épidémie s’est propagée au-delà des grandes villes, dans les zones rurales où les hôpitaux sont rares et où les registres sont mal tenus. Une récente hausse des contaminations? Dans l’ensemble de la vaste nation, la vague dévastatrice du Covid-19 a submergé…
CYCLONE – Quelque 127 personnes étaient portées disparues en mer le mardi 18 mai après le naufrage de leur embarcation au large des côtes de Bombay après le passage du cyclone Tauktae, a annoncé la marine indienne dont deux navires et des hélicoptères aident aux recherches. L’embarcation qui transportait 273 personnes travaillant sur les plateformes pétrolières était partie à la dérive lundi, alors que des vents puissants s’abattaient sur la côte occidentale de l’Inde. Un total de 146 passagers ont pu être secourus dans des conditions de mer extrêmement difficiles, a précisé la marine sur Twitter. Les opérations de secours devaient se poursuivre toute la journée, a déclaré le ministère de la Défense, malgré des conditions maritimes compliquées par l’extrême violence de la tempête. Tauktae, qui déjà fait au moins 21 morts et 96 disparus dans l’ouest de l’Inde, a également provoqué l’évacuation de près de 200.000 personnes. La plus puissante tempête tropicale à frapper la région depuis des décennies a fait des victimes dans les États occidentaux du Kerala, de Goa, du Maharashtra et du Gujarat, tandis que des vents d’une force redoutable emportaient les nombreuses habitations de fortune, déracinaient arbres et pylônes électriques. Le cyclone a touché terre lundi au Gujurat avec des rafales atteignant 185 kilomètres à l’heure, selon le département météorologique indien. Le niveau de la mer s’est élevé de trois mètres le long de la côte, ont indiqué des responsables des services météorologiques de la ville côtière de Diu. La suspension de la campagne de vaccination contre anti-Covid, dont le pays ravagé par l’épidémie a tant besoin, a elle été suspendue. À voir également sur Le Huffpost: La Nouvelle-Calédonie balayée par le cyclone Niran Source
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