Les 23 meilleurs films sur Amazon Prime en ce moment (octobre 2024)
No Time to Die, Killer Heat et American Fiction ne sont que quelques-uns des films que vous devriez regarder sur Amazon Prime Video cette semaine.
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Nikola Krstic/MB Media via Getty ImagesAnita Alvarez, le 22 juin 2022, peu avant son malaise dans la piscine Alfred Hajos de Budapest lors des Championnats du monde de natation. NATATION – Sauvée in extremis de la noyade. Une nageuse concourant aux Championnats du monde à Budapest a sombré au fond de la piscine mercredi 22 juin après s’être évanouie. L’entraîneure de l’équipe américaine de nage artistique et synchronisée a plongé pour la remonter à la surface. Anita Alvarez ne respirait plus après sa performance lors de la finale de natation synchronisée solo libre, et a sombré dans le fond du bassin. Andrea Fuentes s’est alors jetée à l’eau pour la secourir. “Nous avons eu très peur. J’ai dû sauter parce que les sauveteurs ne le faisaient pas”, a expliqué Fuentes au journal espagnol Marca. Fuentes, vêtue d’un short et d’un T-shirt, est descendue au fond du bassin et a remonté Alvarez vers la surface avant de recevoir de l’aide pour porter la nageuse en détresse au bord de la piscine. “J’ai eu peur car je voyais qu’elle ne respirait pas, mais maintenant, elle va bien”, a rassuré Fuentes. Une civière a emmené Alvarez au centre médical de la piscine, laissant coéquipiers et spectateurs sous le choc. L’équipe américaine de natation a publié un communiqué se voulant rassurant sur la santé d’Alvarez. “Elle ne respirait pas” Quadruple médaillée olympique, Fuentes a expliqué à une radio espagnole que sa nageuse avait fait un malaise à cause de l’effort fourni pendant sa performance. “Elle a seulement eu de l’eau dans les poumons, une fois qu’elle a recommencé à respirer, tout allait bien”, a-t-elle ajouté. “J’ai eu l’impression que ça durait une heure entière. J’ai dit que les choses n’allaient pas, j’ai crié aux sauveteurs pour qu’ils aillent dans l’eau, mais ils n’ont pas entendu…
capture NBC NewsA Tempe, en Arizona, un homme est mort noyé après que des policiers ont refusé de lui venir en aide. ÉTATS-UNIS – Un sans-abri s’est noyé dans l’Arizona sous les yeux de policiers qui refusaient d’intervenir, selon des images et une transcription rendues publiques lundi 6 juin par les autorités locales. Appelés le 28 mai à l’aube près d’un lac artificiel de Tempe, (ouest des États-Unis), en raison de “tapage” provoqué par un couple, les agents interrogent d’abord la compagne de Sean Bickings, 34 ans, avant de se diriger vers ce dernier, “sans abri” selon le communiqué de la ville, pour le questionner à son tour. Après quelques minutes, Sean Bickings enjambe la balustrade qui le sépare du lac et descend vers la surface de l’eau. Les agents lui indiquent qu’il n’a pas le droit de se baigner dans le lac, mais le trentenaire se met tout de même à nager vers une zone sous un pont. Les images s’interrompent alors, la ville jugeant le reste de la vidéo trop “sensible”, fournissant alors une transcription des propos tenus. “Qu’est-ce que tu vas faire maintenant?”, lui demande un agent. “Je vais me noyer. Je vais me noyer”, indique Sean Bickings, selon la retranscription. “Mais non”, répond l’agent. Les trois policiers suspendus Un deuxième policier demande alors à l’homme en détresse de nager jusqu’au pylône du pont et de s’y accrocher. “Je ne peux pas, je ne peux pas”, indique Sean Bickings. “Ok, je ne vais pas sauter après toi”, lance le deuxième agent. Selon le reste de la retranscription, les agents continuent d’insister pour que le sans-abri se sorte seul d’affaire, tout en repoussant les efforts de sa compagne qui les implore de l’aider. “Vous m’entendez?” sont les dernières paroles attribuées à Sean Bickings. Plus tard, un des policiers note qu’il…
Boston Globe via Getty ImagesAprès un début d’été inquiétant, le nombre de noyades recule comparé à 2018 (Photo prétexte d’une femme assise sur une plage regardant un bateau de secours à Boston en juillet 2021 par David L. Ryan/The Boston Globe via Getty Images) ACTUALITÉS – Quelque 700 noyades accidentelles, dont 168 mortelles, sont survenues en France entre juin et début août, un chiffre en baisse par rapport à la précédente enquête de 2018 pouvant s’expliquer par une météo peu encline à la baignade, a annoncé jeudi 12 août Santé publique France. En début d’été, l’agence sanitaire s’était inquiétée d’un nombre élevé de noyades survenues entre juin et juillet (300 dont 79 décès), un bilan ayant pu être aggravé selon elle par le relâchement post-confinement (mauvaise condition physique, prise de poids..). Sur une période plus longue, du 1er juin au 8 août, SpF a répertorié 700 noyades accidentelles “documentées”, dont 168 suivies de décès, selon les résultats préliminaires de son enquête “Noyades” réalisée tous les trois ans. Comparé à la même période en 2018, ces accidents sont en baisse de 22% (889 noyades dont 198 mortelles). La météo maussade en lien avec la baisse des noyades Cette diminution “pourrait être liée aux conditions climatiques beaucoup moins favorables à la baignade”, explique l’agence sanitaire dans un communiqué. “On constate une baisse notable sur la première quinzaine de juillet et les tout premiers jours d’août”, période où la météo a été particulièrement maussade, a précisé à l’AFP Aymeric Ung, responsable de l’enquête. En 2018, “les conditions climatiques avaient été idéales quasiment tout l’été, avec une période de canicule entre fin juillet et début août”, plus propice à la baignade, ajoute-t-il. Mais l’été 2021 n’est pas fini et le risque va augmenter avec les fortes chaleurs qui s’annoncent sur une partie de la France,…
VACANCES – Avec le retour des beaux jours et la levée des mesures sanitaires liées à la gestion de l’épidémie de la Covid-19, nous devrions être nombreux à retrouver le chemin des plages et du littoral, qui restent parmi les destinations de loisirs préférées des Français. D’autant que la plupart des études scientifiques s’accordent à dire que les risques de contamination à l’extérieur sont nettement moindres que dans les espaces fermés où nous évoluons au quotidien. Ces signaux positifs ne doivent toutefois pas nous conduire à totalement abaisser notre garde, car, derrière ces aspirations bien légitimes, un autre sujet de santé publique se pose: la noyade. Selon l’Organisation mondiale de la santé, il s’agit de la troisième cause de mortalité accidentelle sur la planète. En France, la noyade est responsable d’un millier de décès par an, dont 40% en milieu maritime. Se baigner dans un lac, une rivière, ou dans les vagues de l’océan est en effet très différent de la pratique de la natation en piscine. Dans ces milieux naturels, nous nous exposons, souvent sans le savoir, à des risques propres à leur nature même. Parmi ces dangers figurent les courants d’arrachement, trop souvent sous-estimés par les nageurs. Un danger méconnu: les courants d’arrachement Observés en divers endroits du globe, les courants d’arrachement (rip current en anglais) sont une cause majeure de noyade sur les littoraux. Ils résultent du reflux, vers le large, de l’eau emmenée par les vagues. Les baigneurs qui s’y retrouvent piégés sont entraînés, et s’épuisent en tentant de rejoindre la plage. Aux États-Unis, ces courants seraient responsables de près 80% des interventions des sauveteurs. Dans le sud-ouest de la France, ils sont souvent connus sous le nom de courants de baïnes. L’une des rares études disponibles à ce jour a montré qu’ils étaient impliqués dans…
PATRICK BERNARD via AFPUn CRS maître-nageur-sauveteur installe un panneau indiquant la présence de courants de baïne, le 21 juillet 2004 sur la plage de Lacanau. Les baïnes, courants dangereux qui entraînent les nageurs au large en quelques secondes, sont le principal souci des maîtres-nageurs-sauveteur (MNS) du littoral aquitain. (Photo by Patrick BERNARD / AFP) FAITS DIVERS – Plus de 300 noyades accidentelles, dont 79 mortelles, sont survenues en France entre début juin et début juillet, a indiqué ce mardi 13 juillet Santé publique France, qui s’alarme de ces chiffres élevés et appelle à la vigilance. Entre le 1er juin et le 5 juillet, l’enquête noyade 2021 de l’agence sanitaire a répertorié 314 “noyades accidentelles documentées” ayant entraîné 79 décès, selon des résultats préliminaires. Il s’agit d’un nombre ”élevé” qui représente, lorsqu’on compare à une enquête réalisée en 2018 sur cette même période, une hausse de 22% pour les noyades accidentelles, et de 58% des décès. En 2020, les accidents de noyade recensés entre début juin et début août (donc deux mois pleins) avaient baissé d’environ 20% par rapport aux années précédentes, une diminution que Santé publique France attribuait à la fermeture de piscines en raison du Covid-19 et la moindre fréquentation des lieux de baignade. Dégradation des capacités physiques après le confinement Ces accidents sont survenus en 2021 “dans le contexte de levée des mesures de restrictions déployées pour la gestion de l’épidémie de Covid”, relève SpF. Des mesures qui “se sont traduites notamment par une réduction importante de l’activité physique et une prise de poids entraînant une probable altération de la condition physique de la population”. La hausse des noyades “pourrait donc être partiellement liée à une mauvaise appréhension des capacités physiques ou à une dégradation de l’état de santé au sortir d’une longue période de moindre activité”, analyse SpF….
L’année 2020 touche enfin à sa fin, mais la pandémie fait toujours des ravages et nous n’avons toujours pas réussi à sauver le climat, à démanteler le patriarcat et à mettre fin au racisme structurel. Comme antidote à toutes ces mauvaises nouvelles, voici un recueil d’histoires qui se sont bien terminées, lorsque de parfaits inconnus sont intervenus dans une situation et ont sauvé la vie de quelqu’un. Nina, 22 ans J’avais 18 ans et j’étais en vacances en Italie avec ma mère et mon petit frère. Je m’étais disputé avec ce dernier et j’étais allée nager toute seule dans la mer. Les vagues étaient assez hautes, et soudain, j’étais plus loin que je ne l’avais imaginé. Quand ma famille m’a repérée, mon frère a sauté directement dans l’eau pour me récupérer. Au début, je ne voulais pas qu’il m’aide parce que j’étais encore contrariée par la dispute. Convaincue que je pouvais m’en sortir toute seule, j’ai commencé à nager vers la rive. Mais j’étais déjà à bout de forces. À ce moment-là, j’ai commencé à avoir très peur. Les vagues étaient de plus en plus hautes. Mon frère était juste à côté de moi, il me tenait, mais il y en avait toujours un de nous deux qui disparaissait sous la surface. S’il essayait de me tirer vers le haut, il coulait lui-même. Pendant ce temps, les sauveteurs essayaient de nous faire monter dans un petit bateau, mais le courant était trop fort. Je me souviens encore du visage désespéré de ma mère sur la plage. C’est là qu’un homme a sauté à l’eau avec ses trois amis. Ils ont nagé vers nous et l’homme m’a attrapée. À ce moment-là, j’étais complètement épuisée, mais mon frère et moi étions sains et saufs moi. L’homme m’a tirée vers le rivage et…
SANTÉ – Depuis le début de l’été, il ne se passe pas une journée sans qu’une nouvelle noyade ne vienne assombrir les vacances. Pour le mois de juillet, le ministère des Sports indique un chiffre à la hausse comparée à la même période l’an passé: 109 décès contre 96. Pour lutter contre les noyades accidentelles, la ministre des Sports Roxana Maracineanu a lancé en 2019 le plan “aisance aquatique”. Il permet aux enfants dès leur plus jeune âge de se familiariser avec l’eau et d’apprendre à nager. L’objectif est de mieux prévenir les risques de noyade, car la meilleure protection est de savoir nager. Mais les plus jeunes ne sont pas les seuls à devoir faire face à ce type de problèmes. À tout âge, il est possible de se noyer. D’autant que lorsqu’on se retrouve dans une situation de ce type, il est fréquent d’adopter les mauvais réflexes et de négliger les gestes qui pourraient nous sauver. Savoir garder son calme “Selon la définition de l’Organisation mondiale de la Santé, une personne est victime de noyade dès qu’il y a présence de liquide à l’entrée de ses voies respiratoires, l’empêchant ainsi de respirer de l’air. Ainsi, la noyade n’entraîne pas nécessairement la mort”, précise le site de la Société de sauvetage. La respiration est donc primordiale pour maintenir le corps au-dessus de l’eau. Ce sont les inspirations et expirations régulières qui lui permettent de flotter sans trop d’efforts. C’est pour cela qu’il ne faut pas chercher à se débattre avec la mer lorsque l’on est fatigué: il faut gérer son souffle pour éviter d’ingurgiter de l’eau. Nager à contre-courant, contre les vagues ou faire de “l’aquastress” ne va pas aider dans ces moments-là. Il est conseillé de se mettre sur le dos pour faire la planche et de retrouver…
ÉTÉ – Les vacances, le soleil, et, plus encore cette année avec la fermeture de certaines piscines en raison du coronavirus, la plage. Avec la mer ou l’océan, les risques de noyade sont plus forts et plus fréquents. Cet internaute en a été témoin, et a choisi de sensibiliser aux dangers encourus d’une manière originale sur Twitter. “Il est rare que je raconte ma vie ici, commence Julien Delmas dans son thread, mais hier j’ai été le témoin d’un miracle qui à quelques secondes se transformait en véritable drame face à 100 témoins dont beaucoup d’enfants.” Il est 18h20, vendredi 24 juillet, sur la plage de Frontignan, dans l’Hérault. Le vent souffle fort, à 50 km/h, et le drapeau de baignade est jaune. 1. Il est rare que je raconte ma vie ici, mais hier j’ai été le témoin d’un miracle qui à quelques secondes se transformait en véritable drame face à 100 témoins dont beaucoup d’enfants. — Julien Delmas (@juliendelmas) July 25, 2020 Dix secondes d’inattention Un couple, accompagné de ses deux enfants de 6 mois et 2 ans, joue dans l’eau. La petite de 2 ans est sur sa bouée, sans brassard. Le père s’absente quelques secondes pour aller chercher quelque chose sur sa serviette. Et ce petit laps de temps suffit à la bouée pour s’éloigner du rivage, avec la fillette. “Mon épouse et moi étions présent sur cette plage au nord de Sète”, confirme un Twittos, @mistigriii59, qui a aussi été témoin de la scène. Le papa s’élance alors dans l’eau, mais ne parvient pas à la rattraper. C’est alors que Julien Delmas, professeur dans un collège, réagit rapidement. Il avertit les sauveteurs, qui sont prévenus par radio. “La centaine de témoins, dont beaucoup d’enfants, redoute une seule chose: que la petite fille de deux ans…
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