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Depuis le 30 septembre et jusqu’à fin novembre, les débuts de semaine de Marine Le Pen sont compliqués. La présidente du groupe Rassemblement national (RN) doit délaisser l’hémicycle, alors qu’une discussion houleuse sur le budget s’amorce et que son parti, fort de 125 député·es, jouit d’un rôle de décisionnaire inédit sur la survie du gouvernement de Michel Barnier. La députée du Pas-de-Calais passe pourtant les trois premiers jours de chaque semaine loin du tumulte de l’Assemblée nationale, au tribunal judiciaire de Paris.