Florent Ladeyn, chef local
Perrine C.
2 heures
On est de plus en plus à bosser comme ça, à notre échelle. De plus en plus les « consommateurs intermédiaires » comme on nous appelle sont conscients de tout ça. On a la chance d’être dans une région où on a tout, pas besoin d’aller chercher des fruits pas mûrs ou des gambas congelées à l’autre bout du monde ! Les seuls problèmes restant sont le café (on le prend bio, équitable et torréfié à côté de notre restaurant, mais il vient quand même du Mexique) et le chocolat (qu’on prend chez kaoka, en bio et deux labels équitables, avec un programme d’entretien des plantations). Pas facile pour le moment de faire accepter à nos clients des alternatives à ces deux produits, surtout pour le café. Vivement la reprise !
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