En Pologne, Izabela est décédée faute d’avoir pu avorter
Pierre N.
12 heures
En quoi c’est la faute de militants prolifes si une femme a décidé de faire une pratique illégale en connaissant les risques qu’elles prenait en la faisant. Elle a décidé de mettre fin à la vie d’un bébé de 6 mois, opération qui est dangereuse, même dans un bloc opératoire. Elle aurait dû attendre 2 mois, accoucher sous x, et confier l’enfant. À 2 mois prêt, le ressentiment après l’avortement est le même que de laisser son enfant. Situation imbécile, qui ne doit pas remettre en cause le principe fondamental qui réside en Pologne : ce n’est pas parce qu’un enfant n’est pas désiré ou malformé, qu’il doit être éliminé… Mais bien sûr, je suis un homme, donc je dois me taire, puisque les femmes ont le monopole de la reproduction humaine. Enfin, on ne sais plus, homme femme, c’est dépassé non ?
Laisser un commentaire