Les graffeurs de métros bruxellois se portent bien, merci pour eux
Le ratio risque/bénéf semble niqué pour toute personne extérieure à ces expéditions, mais l’Herboriste est assez clair concernant l’aboutissement potentiel de ces quêtes : « En soi, le graffiti ça prend du temps, ça coûte de l’argent, de la patience, des problèmes et tout le reste mais il y a tous ces souvenirs et ces moments qui resteront : des rencontres et des voyages. Le projet de mon livre est de parler de tout ce qu’il y a en dehors de l’action de peindre, comme l’ambiance, la préparation, le style de vie, la reconstruction identitaire autour des codes de ce milieu, les remises en question, l’errance, la perdition… J’ai abordé le sujet avec un point de vue presque sociologique en axant la structure sur la construction identitaire de l’individu à travers un groupe marginalisé. J’évoquerai tout ça dans mon livre à travers des textes, des poèmes et des photos. »
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