« Mais c’est juste insupportable ! » : Faut-il aller chez Praud et ses copains ?
À nouveau format, nouvel habillage. Le décryptage médiatique du journaliste indépendant Mourad Guichard s’est vu, ce mercredi, auréolé d’un générique original. Avant d’aborder les « tops » et les « flops », il est revenu, preuve à l’appui, sur le rapport du journaliste du Figaro Yves Thréard au terme « beurette » dont il avait récemment affublé Rachida Dati, la nouvelle ministre de la Culture. Notre chroniqueur a ensuite pointé les jérémiades du militant d’extrême-droite pro-Netanyahu David Antonelli qui a réussi l’exploit d’avoir été remercié par I24News après avoir tenu des propos génocidaires.
Parmi les flops, la remise du prix de politiques de l’année à Yaël Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée nationale et Gérard Larcher, président du Sénat, a constitué un sommet dans l’entre-soi, ce prix ayant été remis par un aréopage d’éditocrates parisianistes. Mourad Guichard n’aurait pas pu poursuivre sa chronique sans évoquer sa « Queen » Ruth Elkrief qui est, cette fois-ci, venue au secours d’Aurore Bergé qui avait tenu des propos hors-sol visant les associations féministes.
Après avoir recadré Patrice Duhamel, l’oncle de la ministre Amélie Oudéa-Castera, souligné l’extraordinaire courage politique de Nicolas Mayer-Rossignol sur la question palestinienne, relevé le lapsus révélateur d’un journaliste de France 5 et rapporté d’autres éléments de langage parfois délirants de commentateurs de l’actualité, le journaliste a abordé son thème du jour : doit-on, peut-on encore se rendre sur le plateau des chaînes de droite et d’extrême-droite. Pour se faire, il a interrogé Robin Andraca, notre confrère d’Arrêt sur Images, le site d’information spécialisé dans la critique média.
Enfin, Mourad Guichard dans son coup de cœur, a tenu à rendre hommage aux équipes du Média TV sans lesquelles la chaîne ne serait pas ce qu’elle est aujourd’hui.
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