Pour se protéger du covid, les autorités canadiennes conseillent le « glory hole »
Sur Twitter, n’a pas manqué de faire réagir si bien qu’il a été parmi les sujets les plus discutés sur le réseau social au Canada le 22 et 23 juillet.
S’assurer que la personne n’est pas contaminée
“Le BC Center for Disease Control recommande d’utiliser des ‘glory holes’ pour pratiquer des rapports sexuels protégés pendant la pandémie – et je veux simplement savoir si c’est une chose courante chez les gens”, écrit Kamil Karamali, journaliste canadien. Les internautes n’ont pas manqué de donner leur avis sous la publication.
“Ok. Je viens d’installer un “glory hole” dans ma porte d’appartement vers 19h. J’ai inséré la partie concernée. Attendu dans cette position pendant 3 heures. Je n’ai reçu que quelques regards. Maintenant je suis très fatigué et j’ai juste besoin d’aller dormir. J’ai 71 ans”.
“Je suis curieux, combien de personnes ont réellement cherché ça sur Google aujourd’hui?”, ce à quoi un internaute à répondu avec un lien montrant un pic pour le 22 juillet.
“Je pense que les architectes devront recevoir quelques conseils sur comment construire les futurs maisons post-covid. En plus des fonctionnalités de travail à domicile”.
À New York, les responsables de la santé publique ont aussi conseillé au début de la pandémie, d’utiliser les “glory holes” comme moyen potentiel d’éviter la propagation du COVID-19.
Les “glory holes” présentent l’avantage, comme le rappellent nos confrères canadiens, de maintenir une distance suffisante avec les très contagieuses gouttelettes respiratoires car les visages restent éloignés.
Les risques d’infection du covid par voie sexuelle sont étudiés mais encore relativement mal connus. Une étude en particulier cherche à comprendre si le virus peut se transmettre via les sécrétions vaginales.
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